Francesco Lo Bue

Francesco LO BUE, Preneur d’étoiles. À la découverte des secrets de l’astrolabe

Francesco LO BUE est physicien et docteur en sciences. Il est directeur des Bibliothèques, de la Culture et du Patrimoine à l’Université de Mons. Dans ce contexte, il dirige le musée de l’Université, le MUMONS. Il est très impliqué dans des projets visant à réintégrer les sciences et l’histoire des sciences dans le champ de la culture.
Il préside également le Cercle d’Astronomie de l’Université, Olympus Mons, dont il est l’un des membres fondateurs. Avec son équipe, il a porté de grands projets comme le pendule de Foucault à la collégiale Sainte-Waudru et à la cathédrale de Tournai, ou encore la mesure de la vitesse de la lumière depuis le Beffroi de Mons.
Il a longtemps collaboré avec l’équipe de l’émission de la RTBF Matière grise, qui lui a attribué en 2018 son Trophée coup de cœur pour la Vulgarisation scientifique.
Son travail le situe à la croisée des chemins entre les chercheurs, les étudiants, les enseignants, le grand public et les médias : comprendre et faire comprendre !
Chargé de cours à l’UMONS, il enseigne la méthodologie spéciale pour les sciences physiques et la communication scientifique ; il est aussi en charge des travaux pratiques d’Astronomie dans le cadre du cours intitulé “Univers : structure et constituants”.

Preneur d’étoiles. À la découverte des secrets de l’astrolabe

Un objet mystérieux, à l’élégance folle, dont l’origine se perd dans la nuit des temps et la lumière des civilisations. Fruit de la Science et de l’Art, le preneur d’étoiles – l’astrolabe – est un joyau astronomique imaginé par les Grecs et développé par les savants arabes. Il cheminera et renaitra sur tous les sentiers du savoir, d’Alexandrie à Bagdad, de Tolède à Louvain, d’Ispahan à Lahore. Au fil des siècles, les fonctionnalités de l’astrolabe ne cessent de se multiplier. Mais à quoi pouvait bien servir cet instrument hors du commun ? Tenir un astrolabe dans la paume de sa main, c’est accueillir dans sa main l’Univers entier, dit un vieil adage. Pourquoi cette fascination quasi mystique ? Et si nous tentions de percer quelques-uns des secrets de l’astrolabe ?